Sauvegarder ses photos – Si il y a bien une chose à prendre en compte avec le numérique c’est comment ne pas perdre ses images lors d’une panne de disque ou d’une fausse manipulation.
L’idéal, je ne vous le cache pas serait d’utiliser un service de backup en ligne, c’est payant, c’est simple et automatique. Je vous le conseille si vous n’avez pas trop de photographies RAW à uploader ou uniquement du jpg.
Il y a un dizaine d’année, j’ai laissé tourner mon ordinateur 24/24h pendant près d’un mois.
Rien que pour réaliser la première copie ! Après c’est plus rapide parce qu’il ne prend en compte que les nouvelles images.
Oubliez également les copie sur une clé USB bien trop lunatique et peu fiable dans le temps, idem avec les DVD.
Dans cet article, je vous présente le matériel et utilitaire de sauvegarde que j’utilise et cela depuis 2019.
Table des matières
Les disques et les sauvegardes
Un support disque en RAID 1
Tous les dossiers sont placés dans le répertoire images d’un disque externe : un Western Digital My Book Duo – 2 disques de 4To configurés en RAID 1. Il s’agit d’un boitier équipé de deux disques et d’une carte électronique pour gérer le mirroring.
Si l’un des disques tombe en panne, le second prend le relais le temps de dépanner le boitier.
Cette unité de disque est branchée en permanence sur mon ordinateur.

Sauvegarder avec un disque externe USB
J’exécute également une sauvegarde (images, vidéos, base de données Lightroom et autres dossiers) sur un autre disque externe une fois par mois ou après une séance photo importante.
Cette fois il s’agit d’un WD Elements Disque dur portable externe – USB 3.0 4To que je range loin de mon PC.
SyncFolders, un outil de sauvegarde gratuit
Pour cette sauvegarde j’utilise un utilitaire que vous n’avez pas besoin d’installer sous Windows, nommé SyncFolders et que vous pouvez télécharger ici.
J’ai simplement copié la version portable sur le disque externe.
Pour lancer la sauvegarde, un simple double clic de la souris sur l’exécutable SyncFolders.exe.

Une fenêtre permet à la fois de créer des règles de sauvegarde (et de les enregistrer) et de lancer la sauvegarde.
L’utilitaire effectue pour chaque règle une copie à l’identique du dossier d’origine.
En effet, je n’ai pas besoin d’historique ou de conserver les fichiers que j’aurais pu supprimer depuis la dernière sauvegarde.

Un cloud pour sauvegarder ses photos et vidéos
Enfin, toutes les images retenues sont exportées sur un cloud: Google photo dans mon cas et pour le citer.
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En conclusion
Pendant plusieurs années de suite, j’avais opté pour une sauvegarde en ligne (Backblaze). Ce service me donnait toute satisfaction jusqu’au jour où des restrictions d’utilisation ne me convinrent plus.
Prendre une autre solution en ligne nécessiterait un nouvel et long «upload» de toutes mes images et vidéos. J’ai donc changé mon fusil d’épaule et adopté cette autre technique de sauvegarde. Elle n’est pas parfaite : le disque externe n’est pas délocalisé comme par exemple chez un ami. Aussi, ma solution ne me prémunit pas d’un vol ou d’un sinistre.
Cependant, mes images développées demeurent disponibles sur le Cloud. Dans ce contexte amateur photo, je trouve que ce n’est déjà pas si mal.
2022 – Pour parfaire mon système de sauvegarde, j’ai finalement adopté un deuxième disque externe stocké chez un proche. Je le mets à jour tous les 6 mois environ.
Et vous qu’en pensez-vous? Quelle solution de sauvegarde utilisez-vous?
Article publié initialement en 2020.
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